Au jardin le jour, à l’ordi parfois le jour, souvent la nuit… et l’impression de ne pas avancer. Pourtant, les haricots et pak-choi sont déjà au menu, on voit se former des tomates et quelques courges. Des figues, raisins et autres (abricots ou pêches? surprise!) apparaissent aussi. Pas toujours tous seuls, donc ça avance quand même.

Et Sergio continue de remodeler le terrain en construisant ici un escalier, là un mur. Lundi, en fauchant, j’ai découvert qu’un talus proche de la terrasse était en fait une sorte de muret tristement effondré, couvert d’herbes tentaculaires et orné d’un vieux pneu. À peine deux jours après, mon acolyte avait transformé ce truc déprimant en un édifice admirable, élargissant le passage de quasiment un mètre dessous et autant dessus. (Mais comme d’habitude, je n’ai pas pensé à faire une photo avant…)

Ensuite, de l’idée d’aménager un raccourci dans un autre talus va naître un escalier-rampe, qui reposera finalement non sur des socles en béton, mais sur des pierres de taille (c’est le cas de le dire!) dénichées juste à côté, pile au bon moment.