Après deux bons mois et demi de sécheresse, il a suffi d’un déluge, d’une averse et de quelques bruines pour que la végétation redémarre. Des arbres bourgeonnent et débourrent, le sol reverdit, les légumes croissent. Ceux qui ont survécu, du moins. L’eau du ciel fait vraiment la différence, comme on me l’a souvent répété ces derniers temps (celle du réseau permettant au mieux la survie).
Parmi les hôtes du jardin les moins difficiles, les bananiers ont sagement patienté. Et celui-ci a décidé de fleurir, ce qui va certainement inspirer ses voisin·es.
