Un couple de voisin·es m’a proposé de prendre autant d’orties que je voulais dans son jardin. Ce que j’ai fait sans modération, parce qu’elles sont indispensables (chose que d’autres voisin·es, d’avant, avaient du mal à admettre). Mes précédentes tentatives d’en transplanter ou semer n’ont pas été très fructueuses.

Comme elles poussaient au pied d’orangers et de mandariniers, j’ai pu prendre aussi des fruits tombés. Et on m’a même donné encore quelques avocats. De quoi patienter en regardant mes arbres pousser…