Les merles ont la fout… désagréable manie de répandre le paillage, mais quand j’ai vu celui des arbres du verger étendu sur des mètres carrés, je n’y ai rien compris. Comment avaient-ils pu faire cela? C’est pas si gros, un merle. Finalement, les coupables se sont démasqués: les poules et leur coq devenus sauvages et qui, normalement, vagabondent un peu plus loin.
Après quelques poursuites dissuasives, j’ai cru le problème réglé. Pourtant, il a bien fallu constater que la dispersion continuait au pied de quelques arbres. Et je suis tombé sur une poule qui se concentrait très fort pour ne pas bouger la moindre plume, jusqu’à ce que je lui parle: là, elle s’est envolée en caquetant d’épouvante.
Pas de quoi se vexer. Et puis elle a laissé un joli dédommagement pour les déprédations.
