Les dividendes tombent, ou on les aide un peu en les prenant sur les arbres: figues, tomates, piments… et raisin. Il paraît que les vendanges sont exceptionnelles dans les vignobles de Pico. Ici, en tout cas, c’est impressionnant. Et pas fini. Panier multicouches. Trois extractions comme celle-là à ce jour, pour faire du jus, du sirop, de la gelée maracuva (devinez avec quoi d’autre!). Ma grand-mère avait la même marmite....
Oui, bon, quand on n’a pas de chatons tout près, on apprivoise tout ce qui a des pattes… et on bêtifie un peu. Et il s’enhardit, le bougre! Je l’ai même retrouvé sur ma poche de pantalon, juste après la cuillère.
Les figues mûrissent et un régime de banane a jauni… Le moment est venu de sécher quelques provisions.
À Pico, il y a des murs de pierre (volcanique, évidemment) partout. Mais quand même pas assez. L’abondance de pierres dans la place de parc réaménagée permet de réaliser quelques aménagements. Alors nous pouvons embellir le jardin, sous les nectariniers, ignames et baies. Merci Rui!
Nous avons plusieurs voisin·es à venir: une maison en cours de construction, une bientôt en rénovation. Et beaucoup de chance, car ce sont des personnes exceptionnelles. Qui font aussi de belles photos. (Merci Claude.)
L’Igreja Matriz de São Roque garde ses guirlandes même après les fêtes de Noël, pour les allumer aussi lors de la fête paroissiale de juillet. On en profite mieux que sous le vent et la pluie.