Quand c’est possible, le dimanche soir, je me joins à mes voisin·es français·es pour une balade d’une à deux heures, soit en bas du côté de l’océan, soit en hauteur dans la forêt. Aujourd’hui, nous avons longé les falaises assaillies et parfois rongées par les vagues. Pour la première fois, vous allez voir ces voisin·es dont je parle tant.