Il y a toujours quelque chose en fleurs sur l’île. Là, de petites jaunes (Oxalis pes-caprae) forment parfois comme des champs de colza. Et un peu partout dans les pâturages ou au bord des chemins, il y a des callas sauvages. N’y tenant plus, j’en ai emprunté quelques-unes. Ça fera sourire les locaux qui ne voient pas l’utilité d’en mettre dans son jardin, mais pourquoi se priver d’un peu de beauté?


