Décidément, il y a beaucoup à faire et pas beaucoup de temps pour en parler! Les activités se répartissent entre l’extérieur quand le ciel le permet (pas aujourd’hui, par exemple) et l’intérieur pour quelques finitions et retouches.

Au jardin, de premiers plantons sont en terre, mais ils souffrent un peu des conditions climatiques du moment (hier, en l’occurrence):

Les fruits et légumes ne sont plus seuls. Des plantes ornementales et parfois odorantes les rejoignent. La passiflore n’a hélas pas survécu à sa transplantation, au vent, ou aux deux. Ici un jasmin:

La terrasse est finie. J’y ai passé plusieurs couches d’huile de lin, mais il faut encore encorder la barrière et procéder à quelques finitions.
Immense avantage de la passerelle ajoutée à l’avant-plan: elle permet de rejoindre différentes parties du jardin sans en faire tout le (dé)tour, avec un escalier au milieu et la rampe à l’autre bout. On peut aussi passer de la porte d’entrée à celle de la terrasse (ou inversement selon l’humeur).

Et dans la maison aussi, il y a du mieux.
La baignoire a enfin été recarrelée avec une pente dans le bon sens, c’est-à-dire vers l’écoulement. Soulagement!
Des étagères ont gagné quelques tablars faits sur mesure, ce qui permet de réorganiser les provisions. Quand l’armoire de la cuisine aura été adaptée (avec des tablettes coulissantes) par le menuisier qui l’a réalisée, les derniers cartons pourront être vidés. Quasiment six mois après leur arrivée. Je l’ai déjà dit: sur Pico, on apprend la patience.
D’ailleurs, après plusieurs mois de provisoire, j’ai câblé ces derniers jours le réseau ethernet et même appris à sertir des prises RJ45. En plus, ça fonctionne. Fini de s’encoubler dans des rallonges!

Aujourd’hui, une commode est née des tiroirs et de planches de l’ancienne cuisine. D’aspect rustique, certes, mais elle rendra de précieux services dans la chambre d’ami·es. Qui va bientôt accueillir quelqu’un pour la première fois. Et il faut encore que je construise le lit!