Une voiture en fin de vie des anciens propriétaires prenait ses aises dans un coin du jardin. Les roues entourées de lierre, des lézards sur le tableau de bord et des crottes de rongeurs sur les sièges. Elle aurait dû partir il y a deux mois, mais voilà…
Et ce dimanche, un coup de fil: quelqu’un vient la chercher. Un quelqu’un plutôt patient et méticuleux: malgré des manœuvres risquées, pas une éraflure à l’embrasure du « mur d’enceinte », aucun pépin, alors que l’épa… la vénérable auto n’est pas allée de son plein gré sur le corbillard.
Et maintenant, enfin de la place pour travailler! Ça tombe bien, puisque la fin de la semaine a été consacrée au défrichage, à l’arrachage (voir billet « archéologie au jardin »).

