Ici, quand on dit au revoir, on a coutume de conclure avec « até amanhã »: à demain. Même si l’on n’a pas prévu de se revoir si vite. Une façon d’espérer que l’on sera toujours vivant·e, si j’ai bien compris.
Je n’ose pas toujours l’utiliser, de crainte que ce soit pris au premier degré et que ça complique les choses. Surtout après une prise de rendez-vous plus tard que demain. Déjà qu’il n’est pas facile de s’y retrouver avec les jours de la semaine (laquelle commence le dimanche).
