
Une hier et une aujourd’hui. Elles sont devenues tellement rares que quand j’en vois une, je la montre. Les traces d’avion qui, en Suisse, pouvaient obscurcir le ciel (et mon humeur) en même pas une demi-journée sont ici tout à fait exceptionnelles. Le trafic transatlantique est invisible et inaudible. Croyez bien que je ne m’en plains pas!
P.-S.: Mais je ne déteste pas forcément tous les avions. Quand ils servent aux transports d’amoureux·ses, il me paraissent même indispensables. La preuve encore tout bientôt. 🧜♀️