Derrière ce que les voisin·es appellent « l’ombrière » et que je surnomme « la volière » (puisque malgré les filets, les oiseaux viennent y mettre le chenis), il y avait de la jungle. Plus maintenant. Quelques heures d’arrachage et de coupe permettent d’y voir plus clair… et de constater que l’espace convoité pour la future serre est plus petit qu’espéré. Mais il reste des possibilités.

Accès dégagé.
Devant…
… et derrière.