En deux visites, les électriciens ont fait un boulot dingue, satisfaisant toutes mes lubies sans broncher: remplacement de prises douteuses, ajout ou changement de lampes, nouvelles prises à l’intérieur et à l’extérieur, interrupteurs supplémentaires ou mieux placés (il en avait un derrière une porte; j’aurais pu casser un carreau pour l’atteindre, mais bon…), câblage tout neuf pour de futurs luminaires. Et remise en conformité du tableau, dont je n’ai pas pensé à faire une photo avant. Imaginez un plat de spaghettis. Sans exagérer! Le chef a flegmatiquement lâché deux mots après l’avoir ouvert: « é mau » (« c’est mauvais », comme vous vous en doutiez).

J’ai préféré déléguer le câblage fixe, mais vais fabriquer et installer deux ou trois lampes. Il a déjà fallu s’initier aux prises européennes pour adapter quelques appareils et pour faire des rallonges (introuvables « toutes prêtes » dans le commerce, allez savoir pourquoi). Ici, un spécimen de prise qui s’ouvre comme une fleur, plutôt sympa à câbler.

Ce genre de matériel est assez différent de celui qu’on trouve en Helvétie, mais entre les fiches multiples en tout genre (verticales, horizontales, en « T »…), les prises hermaphrodites et celles à interrupteur hyper-classe (voir billet « Fait maison », derrière les yogourts), je devrais vite y prendre goût.