C’est ainsi que l’on traduit « passion » en portugais, mais le fruit s’appelle « maracuja ». Même si on le cultive, récolte et mange passionnément. Au jardin aussi.
Oui, bon, quand on n’a pas de chatons tout près, on apprivoise tout ce qui a des pattes… et on bêtifie un peu. Et il s’enhardit, le bougre! Je l’ai même retrouvé sur ma poche de pantalon, juste après la cuillère.
Les figues mûrissent et un régime de banane a jauni… Le moment est venu de sécher quelques provisions.
À Pico, il y a des murs de pierre (volcanique, évidemment) partout. Mais quand même pas assez. L’abondance de pierres dans la place de parc réaménagée permet de réaliser quelques aménagements. Alors nous pouvons embellir le jardin, sous les nectariniers, ignames et baies. Merci Rui!
Nous avons plusieurs voisin·es à venir: une maison en cours de construction, une bientôt en rénovation. Et beaucoup de chance, car ce sont des personnes exceptionnelles. Qui font aussi de belles photos. (Merci Claude.)
L’Igreja Matriz de São Roque garde ses guirlandes même après les fêtes de Noël, pour les allumer aussi lors de la fête paroissiale de juillet. On en profite mieux que sous le vent et la pluie.
À São Roque, il est un restaurant dont la terrasse est squattée par bon nombre de chat·tes. Et, actuellement, une portée de chatons. Quatre, en réalité. Impossible d’y résister. En plus, ils sont ultra-sociables. (Cette photo sur les réseaux sociaux ferait des millions de vues, mais elle est seulement pour vous.)